Fin de la BOLIVIE :
Départ de la Paz pour Oruro, le bus part de la Paz à l’heure dites du terminal central de bus mais le bus n’étant pas rempli complètement, s’arrête dans la banlieue de la Paz et nous attendrons 1H environ avec des rabatteurs en train de crier « Oruro Oruro ».
Bref le bus un peu plus rempli nous nous dirigeons vers la ville d’Oruro, le paysage est désertique et nous sommes bientôt en vue de la ville d’Oruro seulement la ville est bloquée par les habitants avec des pierres sur les routes etc….. Il y a souvent des mouvements sociaux en Bolivie et les gens bloquent entièrement les routes ce qui rend impossible la circulation. Au début le chauffeur du bus veut déposer tous les passagers aux abords de la ville mais les gens dans le bus protestent et finalement le chauffeur change d’avis et nous emmènent tant bien que mal avec beaucoup de détour au terminal de bus d’Oruro. Heureusement que nous ne sommes pas descendu au porte de la ville car déjà d’une c’est au milieu de nul part, deuxièmement la ville ressemble à une décharge à ciel ouvert.
Bref le bus un peu plus rempli nous nous dirigeons vers la ville d’Oruro, le paysage est désertique et nous sommes bientôt en vue de la ville d’Oruro seulement la ville est bloquée par les habitants avec des pierres sur les routes etc….. Il y a souvent des mouvements sociaux en Bolivie et les gens bloquent entièrement les routes ce qui rend impossible la circulation. Au début le chauffeur du bus veut déposer tous les passagers aux abords de la ville mais les gens dans le bus protestent et finalement le chauffeur change d’avis et nous emmènent tant bien que mal avec beaucoup de détour au terminal de bus d’Oruro. Heureusement que nous ne sommes pas descendu au porte de la ville car déjà d’une c’est au milieu de nul part, deuxièmement la ville ressemble à une décharge à ciel ouvert.
On classe la ville d’Oruro parmi les 3 villes les plus sales que l’on a traversés depuis le début de notre tour du monde. Le classement : Oruro en Bolivie ; Juliaca au Pérou et les plages de Livingston au Guatemala.
Enfin avec pas mal de retard nous arrivons au terminal de bus, les gens dans le même bus que nous applaudissent en voyant enfin l’arrivée. Nous débarquons et nous nous mettons à la recherche d’un hôtel, nous trouvons tous les hôtels chers par rapport à ce qu’il y a à faire dans cette ville c’est à dire rien de spécial. Enfin nous trouvons un hôtel près de la station de bus, nous nous promenons un peu plus tard dans la journée et les gens de cette ville sont assis par terre et ils ne font rien de chez rien, et on sent leurs regards sur nous, mais pas un regard amical, on se demande bien où nous sommes tombés. Nous allons à la station de bus pour rejoindre soit la ville de Potosi soit celle de Sucre mais là à toutes les agences de bus on nous dit qu’à cause des grèves et des blocages des routes ce n’est pas sûr qu’il y ait des bus.
Nous décidons alors de ne pas prendre le risque d’aller dans une des 2 villes ci-dessus car une fois là bas on risquerait d’être bloqué de chez bloqué sans moyen de transport. C’est alors que nous pensons à l’idée de prendre le train pour la ville d’Uyuni car c’est semble t il le seul moyen de transport disponible.
Dès le lendemain nous changeons d’hôtel et allons près de la gare d’Oruro et achetons nos billets de train pour la ville d’Uyuni. Le quartier semble meilleur dans ce coin de la ville. Eric en profite pour se faire couper les cheveux, ici en Bolivie car cela est moins cher, à peine 1euro 50.
Le jour suivant direction la gare et enfin embarqué dans le premier train que l’on prend depuis le début de notre voyage.
Le train est spacieux avec tout le confort + la télé. Le paysage est désertique et sans limite, nous apercevrons lama, vache et vigogne et quelque étendu de sel. Tout à coup le train s’arrête et on nous dit que c’est un arrêt de 30min environ car un autre train est sur la voie, car il n’y a qu’une voie d’où une certaine forme de priorité a celui engagé, bref 30min plus tard toujours rien, pas un contrôleur rien, on attendra comme cela non pas 30min mais 3H, abusé. Nous trouvons que les gens sont quand même patients ici. Le train arrivera vers les 2h30 du matin au lieu de 22H30, du grand n’importe quoi. Une fois arrivé nous récupérons nos valises et nous suivons des gens en train de se diriger vers un hôtel, nous ne cherchons pas plus loin et nous disons ok direct, au final l’hôtel est plutôt pas mal.
Le train est spacieux avec tout le confort + la télé. Le paysage est désertique et sans limite, nous apercevrons lama, vache et vigogne et quelque étendu de sel. Tout à coup le train s’arrête et on nous dit que c’est un arrêt de 30min environ car un autre train est sur la voie, car il n’y a qu’une voie d’où une certaine forme de priorité a celui engagé, bref 30min plus tard toujours rien, pas un contrôleur rien, on attendra comme cela non pas 30min mais 3H, abusé. Nous trouvons que les gens sont quand même patients ici. Le train arrivera vers les 2h30 du matin au lieu de 22H30, du grand n’importe quoi. Une fois arrivé nous récupérons nos valises et nous suivons des gens en train de se diriger vers un hôtel, nous ne cherchons pas plus loin et nous disons ok direct, au final l’hôtel est plutôt pas mal.
Le lendemain visite de la ville d’Uyuni qui est très touristique, en effet c’est de cette ville que partent tout les tours pour le salar du même nom. Nous mangeons une bonne pizza et nous faisons le tour des agences de voyage pour organiser notre tour de 3 jours dans le salar + le sud lipez. Enfin après avoir comparé tous les prix, nous trouvons une petite agence (paula tour) qui nous fait un bon prix et en plus il y a 3 français d’inscrits ce qui peut être sympa pour faire le trek. Nous achetons nos tickets ici et donc rendez vous le lendemain 10H30 devant l’agence.
1er jour du trek :
Le lendemain nous sommes au point de rendez vous, le 4X4 arrive sauf qu’a l’intérieur il y a non pas 3 français mais 4 allemands, bref ils sont sympa et nous communiquerons pendant ces 3 jours en espagnol, en anglais, en allemand et en français.
Le tour commence par la visite du cimetière des trains aux abords de la ville d’Uyuni, ce sont des locomotives et des wagons abandonnés là depuis plus de 80ans.
Ensuite direction la ville de Colchani qui est l’entrée et le début du salar d’Uyuni. Dans la ville nous voyons quelques vendeurs ambulants. Ensuite direction le salar et arrêt, vue sur les petits monticules de sel et on voit quelques personnes extraire le sel.
Nous roulons ensuite sur le désert de sel, la luminosité est très très forte, heureusement que nous avons les lunettes de soleil, nous mettons également de la crème solaire. Le 4X4 n’a pas de gps et se dirige grâce à une espèce de piste pour ne pas se perdre dans cette immense étendue de sel où l’on ne distingue pas de point de repère à l’horizon.
Direction ensuite l’ile de Incahuasi qui est une « ile » situé au milieu du salar mais avant cela nos amis allemands demandent à faire une pause photo au milieu du salar et nous en profitons pour manger ici au milieu d’un désert de blanc. Le temps est propice aux photos diverses et variées et ensuite redirection toujours sur l’ile de Incahuasi qui est une « ile » avec des cactus géants dessus (qui est payante en plus). Il y a une multitude de 4X4 déjà garés aux abords de l’ile. Nous pouvons monter tout en haut de l’ile et ainsi contempler la vue à 360 degrés sur le salar qui semble s’étirer à perte de vue.
Après tout ceci nous nous dirigeons vers notre hôtel de sel qui se trouve à proximité de la sortie du salar pour y dormir. Nous arrivons à cet hôtel et tout à l’intérieur est fait de sel (tables, chaises, lits). Nous prenons une chambre avec vue sur le salar.
2eme jour du trek :
Le lendemain levé de bonne heure pour continuer notre trek, tout le monde déjeune et direction le sud. Nous arrivons rapidement au village de San Juan avec des troupeaux de lama aux abords pour faire quelques courses pour ceux qui veulent.
Nous allons ensuite à un point de vue sur les volcans des Andes.
Ensuite nous repartons direction les lagunes où les flamands roses y logent à l’année. Nous mangerons près qu’une lagune avec en arrière plan le balais des flamands rose et les Andes avec un peu de neige.
Nous apercevons des animaux tels qu’une autruche (et oui il y a des autruches en Bolivie et sauvage en plus), des vigognes sauvages, des lamas, des sortes de lapins mélangés avec des chinchillas (biscotcha) et bien sur des flamands roses.
Le trek continu toujours à une altitude moyenne de 4500metres d’altitude. Nous traversons désert et désert de sel, voie de chemin de fer et paysages à couper le souffle. Nous arrivons à l’arbol del pierra qui sont en faites des rochers au milieu du désert, le temps de quelques photos et ensuite continuation de la route vers la laguna colorada (d’un rouge vif) qui est le début de l’entrée du parc ( réserva Eduardo Avaroa) et l’endroit où nous logerons pour la deuxième nuit de notre parcours. L’entrée est payante en plus. Nous dormirons en dortoir avec nos amis Allemands, le souper s’accompagnera de vin.
Nous allons ensuite à un point de vue sur les volcans des Andes.
Ensuite nous repartons direction les lagunes où les flamands roses y logent à l’année. Nous mangerons près qu’une lagune avec en arrière plan le balais des flamands rose et les Andes avec un peu de neige.
Nous apercevons des animaux tels qu’une autruche (et oui il y a des autruches en Bolivie et sauvage en plus), des vigognes sauvages, des lamas, des sortes de lapins mélangés avec des chinchillas (biscotcha) et bien sur des flamands roses.
Le trek continu toujours à une altitude moyenne de 4500metres d’altitude. Nous traversons désert et désert de sel, voie de chemin de fer et paysages à couper le souffle. Nous arrivons à l’arbol del pierra qui sont en faites des rochers au milieu du désert, le temps de quelques photos et ensuite continuation de la route vers la laguna colorada (d’un rouge vif) qui est le début de l’entrée du parc ( réserva Eduardo Avaroa) et l’endroit où nous logerons pour la deuxième nuit de notre parcours. L’entrée est payante en plus. Nous dormirons en dortoir avec nos amis Allemands, le souper s’accompagnera de vin.
3eme jour du trek :
Levée très très matinal vers les 4H30 du mat’ pour partir vers les geysers pour y voir le levé du soleil.
L’activité volcanique est importante dans ce coin ci.
Nous voulons repartir mais le 4X4 a crevé, en moins de 5 min la roue est changée et nous pouvons repartir et cette fois ci en direction des thermes.
La température extérieure est très froide à cette heure et à cette altitude.
L’activité volcanique est importante dans ce coin ci.
Nous voulons repartir mais le 4X4 a crevé, en moins de 5 min la roue est changée et nous pouvons repartir et cette fois ci en direction des thermes.
La température extérieure est très froide à cette heure et à cette altitude.
Nous arrivons en vue des thermes avec quelques personnes à l’intérieur, la température est très basse et on se demande comment on va faire pour se déshabiller mais finalement cela se fait bien. Nous profitons alors des bains thermaux qui sont bien chaud et qui nous réchauffe, la sortie fut facile ensuite petit déj’.
Nous dirigeons vers la laguna verde (verte) avec un peu de glace sur le bord et quelque flamand rose. Après avoir pris des photos et admiré la vue nous nous faisons déposer à la frontière avec le chili à 4500 mètres d’altitude. Nous récupérons nos affaires et le 4X4 repart avec les Allemands direction Uyuni. Nous tamponnons notre passeport du côté Bolivien et nous attendons le bus pour aller au Chili, en attendant nous admirons la vue sur le volcan Licancabour.
Nous dirigeons vers la laguna verde (verte) avec un peu de glace sur le bord et quelque flamand rose. Après avoir pris des photos et admiré la vue nous nous faisons déposer à la frontière avec le chili à 4500 mètres d’altitude. Nous récupérons nos affaires et le 4X4 repart avec les Allemands direction Uyuni. Nous tamponnons notre passeport du côté Bolivien et nous attendons le bus pour aller au Chili, en attendant nous admirons la vue sur le volcan Licancabour.
LE CHILI:
Le bus arrive et nous embarquons direction le Chili vers la ville de San Pedro de Atacama, dans le bus nous remplissons les papiers d’immigration. Aux abords de la ville de San Pedro passage aux douanes avec scanner aux rayons X et tamponnage du passeport. Le bon fromage acheté en Bolivie ne passe pas et nous en mangeons le plus possible avant de rentrer au Chili, le reste sera jeté.
Nous remontons dans le bus et à l’arrivée nous sommes démarchés par un gars qui nous dit 20dollars Américain par personne mais en dortoir, on lui dit que c’est hors de prix et il nous répond qu’ici c’est le Chili et que c’est plus cher que la Bolivie. On lui dit qu’on a vu bien meilleur marché et que les prix ne sont pas justifiés. Nous trouvons un petit hôtel pour déposer nos affaires.
Le Chili est très très différent de ses voisins Péruvien et Bolivien, des belles voitures, des prix plus élevés, incomparable !!!
San Pedro de Atacama est une ville touristique au milieu du désert. L’intérêt de San Pedro est les activités extérieures de la ville. Nous y ferons du cheval dans le désert, après quelques embûches pour en faire, mais finalement nous en ferons.
Nous ferons également la ville de Calama toute proche où nous visitons la mine de chiquicamata qui produit du cuivre avec les camions géants.
Direction la ville de la Serena avec Turbus (nom de la compagnie de bus) qui sont les bus les plus confortable que l’on ait eu, avec couverture, oreiller, petit déj et petite collation à bord, bref impeccable.
A La Serena, nous faisons un tour dans la vallée de Elqui où sont produit papayes, fraises et vin entre autre. L’observatoire de Mamalluca où l’on peut observer les étoiles au microscope électronique. Le tour organisé sera moyen car nous ne serons pas dans un observatoire scientifique et l’explication pas top top et trop brouillon (explication des saisons côté hémisphère nord alors que nous sommes au sud), les points positifs : observation de la lune, d’Orion, de venus, des galaxies de Magellan (à l’œil nu on voit 2 autres galaxies), la croix du sud et ensuite nous pouvons observer Jupiter a la lunette électronique, retour au bercail vers les 1H du mat’ avec un petit sandwich dans le bus.
Le lendemain visite de la ville et de la plage de la ville, des magasins etc….
L’étape suivante est la ville de Valparaiso avec ses ascenseurs et la ville est colorée, tagués par des artistes etc… la ville est située sur des collines (environs 44 petites collines). Le port de Valparaiso est industriel avec des phoques et des pingouins ainsi que des pélicans y ont élu leur domicile. Mais malheureusement impossible d’approcher sur le port car inaccessible.
Nous décidons d’aller ensuite un peu en Argentine pour économiser quelque sous car la vie ici au Chili est beaucoup plus chère que ce que nous avions prévu car dernièrement le pays à une inflation très rapide. Donc direction la ville Argentine de Mendoza de l’autre côté des Andes.
L’ARGENTINE :
Nous prenons le bus (el rapido c’est le nom de la compagnie), à bord petit déj et sandwich le midi. Nous admirons les Andes avec le plus haut sommet d’Amérique qui est l’Aconcagua (6900metres d’altitude) celui_ci était encore un peu enneigé et nous avons pu voir les quelques pistes de ski au pied du sommet.
Le passage de frontière entre le Chili et l’Argentine se fait au même endroit, dans les mêmes locaux. Nous arrivons à Mendoza après 7h30 de bus et découvrons que les marques françaises y sont omniprésente : renault, citroën, peugeot, carrefour etc… Ici dans les rues c’est le musée de l’automobile française !! Beaucoup de reliques Française roulent, en France on les trouvent seulement dans les musée !!
Nous trouvons un hostel et nous nous installons pour 4 nuits. Les rues sont droites comme à l’Américaine. Nous nous baladons dans la ville, nous en profitons pour laver notre linge qui en avait bien besoin, faire nos courses à carrefour, acheter du bon saucisson entre autre !!!!
Mendoza est entourée de vignes comme de l’autre côté Chilien.
Lundi nous partons de l’Argentine redirection le Chili dans la ville de Santiago du Chili pour y prendre notre vol direction Sydney via Toronto et Vancouver !!
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